A Toulouse, face au désengagement de l’Etat en matière de logement social, une quarantaine de fonctionnaires des centres sociaux de la ville ont créé le G.P.S (Groupement pour la défense du travail social), en dehors de leur cadre de travail.
Ce collectif se mobilise pour apporter des solutions concrètes aux laissés pour compte. Assistantes sociales, éducateurs, instituteurs ou infirmiers, ils mettent en place des solutions clandestines d’hébergement, puis se retournent vers l’Etat pour les faire reconnaître.
Ce film est l’histoire de femmes et d’hommes qui ont choisi de s’investir au quotidien pour une société plus équitable et solidaire.
Un Toit sur la Tête
2015
format
52 mn
Partenaires
France 3 Occitanie
CNC
L'ACSE
SCAM
Région Occitanie
Narratio Films
Réalisateur
Olivier Cousin
Un Toit sur la Tête
A Toulouse, face au désengagement de l’Etat en matière de logement social, une quarantaine de fonctionnaires des centres sociaux de la ville ont créé le G.P.S (Groupement pour la défense du travail social), en dehors de leur cadre de travail.
Ce collectif se mobilise pour apporter des solutions concrètes aux laissés pour compte. Assistantes sociales, éducateurs, instituteurs ou infirmiers, ils mettent en place des solutions clandestines d’hébergement, puis se retournent vers l’Etat pour les faire reconnaître.
Ce film est l’histoire de femmes et d’hommes qui ont choisi de s’investir au quotidien pour une société plus équitable et solidaire.
EQUIPE
Réalisateur : Olivier Cousin / Chefs opérateurs : Olivier Cousin, Ines Compan, Benoît Maestre, Frédéric Perlaux / Cheffe monteuse : Khadicha Bariha / Production : Audrey Ferrarese
Nominé aux Festivals
Média
À Toulouse, des travailleurs sociaux se sont regroupés dans un collectif, le GPS (Groupement pour la défense du travail social), afin d'agir à leur échelle et d'héberger clandestinement des familles dans des bâtiments publics inoccupés. Le documentaire d'Olivier Cousin suit pendant plusieurs mois l'action de ces agents et, à sa façon, rend hommage à leur ténacité. Sans voix off, il réussit à mettre en avant des enjeux d'importance : la confrontation juridique entre droit de propriété et droit à la dignité où le trouble que jette parfois la communication politique sur une situation déjà complexe.
La Vie
30 septembre 2015